« Botticelli, Grand Maître du Prieuré de Sion, regardait tour à tour Vespucci père et fils :
— Ce continent qu’a atteint Colomb, un pape en a donné la jouissance à l’Ordre du Temple, hurla Sandro Botticelli.
— Certes, mais pourquoi dois-je lui donner mon nom ? Demanda Amerigo Vespucci.
Il ne comprenait pas... Botticelli hurla de nouveau :
— Parce que ce continent s’appelle déjà « l’Amérique ».
Le Mensonge des Papes - Philippe Duquesnois
Lors de son troisième voyage, en 1498, Christophe Colomb met le pied sur le nouveau continent, il n’avait découvert, jusque là, que des iles.
Six mois plus tard, le Cardinal Da Fonseca, ministre d’Isabelle la Catholique, met en place une escadre qui sera chargée de mener Amerigo Vespucci sur les pas de Colomb.
Le Prieuré de Sion ne pouvait pas ne pas participer à cette grande aventure. Il y parviendra en intégrant un de ses agents à la « Navigation d’Amerigo Vespucci ».
CECI EST UN ROMAN
Et pourtant... ce livre dévoile les arcanes d’un extraordinaire projet qui prit naissance au cœur du Saint Empire Romain Germanique, véritable étoile flamboyante de l’Occident Renaissant.
Un projet dont les développements religieux, historiques et politiques secouaient encore la Vieille Europe, au lendemain de la Première Guerre Mondiale.
À l’aube de l’Ère du Verseau, « L’Objectif Mérovingien » sera repris par un certain Pierre Plantard, qui le déclinera, à la fin des années 1950, sous la forme d’une magistrale fresque historico-hermétique. Son message servira de compas à quelques navigateurs triés sur le volet... et de miroir aux alouettes à une foule de pèlerins en quête de merveilleux.
« Le Mensonge des Papes » raconte l’histoire romancée des hommes de la Découverte de l’Amérique, mais, ne nous trompons pas, ce n’est pas l’Histoire qui s’adapte aux aventures des héros du livre... ce sont les personnages qui tiennent compte de la Vérité historique !
