Etudes et conclusions des chercheurs -vos théories

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JAUCLIN
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Re: Etudes et conclusions des chercheurs -vos théories

Message par JAUCLIN »

Deuxième partie de l'étude sur le petit parchemin et le codex Bezae :

https://recharc.fr/petit-parchemin-et-codex-bezae-2-2/

Bonne lecture .

à plus :wink:
Thierry Espalion
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Re: Etudes et conclusions des chercheurs -vos théories

Message par Thierry Espalion »

Bonjour à tous,
Nous savons que l'orientation de l'église de Saint Sulpice a évolué au fil des siècles. De même, en l'église de Saint Germain des Prés, ''grande sœur'' de l'église Saint Sulpice, subsistent encore des orientations légèrement différentes (entrée, nef et chœur ne sont pas parfaitement alignés).
L'orientation actuelle de l'église Saint Sulpice et celles de Saint Germain des Prés sont intéressantes puisqu'elles définissent des directions convergeant vers deux églises très anciennes. Ces deux églises sont situées près de la rue Saint Jacques et au carrefour de deux voies romaines :

Image

L'église Saint Séverin et l'église Saint Julien le pauvre (l'Hospitalier), bien que très proches géographiquement, ont la particularité d'être situées non seulement de part et d'autre de la rue Saint Jacques, mais aussi situées de part et d'autre du Méridien passant par le fameux menhir des Pontils !

Toutes deux ''améliorées'' sous le règne du Roi Soleil, ces deux églises voisines, présentent les deux mêmes orientations que celles déjà observées à Versailles : 111° et 119°. Orientations qui se retrouvent à plusieurs reprises, mises en lumière en terre de Rennes !

Image

L'église actuellement dédiée à Saint Julien l'Hospitalier, est l'une des plus anciennes de Paris. Elle abrite notamment des sépultures mérovingiennes et elle est l'une des très rares églises parisiennes et même françaises, à être orientée suivant le lever du soleil le 17 janvier, dans le Razès !

Image
"A tous ces hommes ayant œuvré dans l'ombre afin de transmettre le flambeau"
Thierry Espalion
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cardou
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Message par cardou »

Ce topic est consacré aux conclusions -

Donc pas de commentaire ici "" MERCI ""
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Virgile
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Re: Etudes et conclusions des chercheurs -vos théories

Message par Virgile »

La thèse : La décoration de l’église de Rennes-le-Château est la représentation d’une carte.
Chaire Saint Luc = Pech de Luc
Statue Saint Antoine de Padoue = Pech Cardou – Enfant Jésus = lampos
Statue Sainte Marie Madeleine = Les Gavignauds
Statue Saint Antoine ermite = Campagne les bains
Statue Saint Roch = Roc d’en Jolade et source
Statue Sainte Germaine de Pibrac = Quillan
Statue Saint Jean Baptiste et Jésus : Coudons et Ginoles (les bains)
Statue du Diable et son geste = Les murailles du diable et le trou du curé
Ronde bosse = Picoulet de Quirhaut
:chris:
P.Silvain
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Message par P.Silvain »

Voici l'une des clefs du Grand Secret du Razès, fruit de mes recherches et publiée depuis 25 ans
Elle est essentielle à la résolution de l'énigme. :idea:
Modifié en dernier par P.Silvain le 02 févr. 2024, 23:58, modifié 1 fois.
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Message par P.Silvain »

COUVERTURE: LE FIL D'ARIANE
https://www.facebook.com/photo?fbid=259 ... 2826428748

https://ulpian-theory.com/2023/05/15/grotte-cardou/

Bonjour
Après la parution l'an dernier de JESUS CHRIST L'IMPOSTEUR, ce dernier livre LE FIL D'ARIANE établit de façon irréfutable et définitive la présence dans le Razès des reliques des 2 Jésus et la validité de toutes mes théories.
Ces deux livres sont indispensables à la compréhension de l'énigme que j'ai nommée il y a 25 ans LE GRAND SECRET.

Que la parole circule :.
:hello:
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Message par P.Silvain »

.
Modifié en dernier par P.Silvain le 22 janv. 2024, 01:34, modifié 1 fois.
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Message par P.Silvain »

Bonjour
Vient de paraître: DERNIERES DEMEURES DE "DIEU" ( St SALVAYRE, SERRES, ALETH, CARDOU)

La dernière localisation est une grotte du Cardou qui a servi de modèle à celle d'Espéraza construite par l'abbé Rivière qui a reçu la confession de Saunière.

Ce livre PROUVE
1° Que l'hypothèse des reliques de Jésus est fondée
2° Que l'abbé Saunière connaissait l'emplacement du tombeau de Jésus
3° Que l'abbé Boudet IDEM
4° Que Maurice Leblanc est lié à l'énigme du Razès et l'a codée
UlpiaN

:hello:
P.Silvain
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Message par P.Silvain »

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Virgile
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Re: Etudes et conclusions des chercheurs -vos théories

Message par Virgile »

"Toute l'astuce est que cela passe inaperçu car personne ou presque n'imagine que des statues religieuses puissent cacher une cartographie. C'est pourtant le cas ici : une visite approfondie va progressivement nous en convaincre."
Gérard de Sède in Le trésor maudit de Rennes-le-Château

La thèse :
La décoration de l’église de Rennes-le-Château est la représentation d’une carte.
- Chaire Saint Luc = Pech de Luc
- Statue Saint Antoine de Padoue = Pech Cardou – Enfant Jésus = Lampos
- Statue Sainte Marie Madeleine = Les Gavignauds
- Statue Saint Antoine ermite = Campagne les bains
- Statue Saint Roch = Roc d’en Jolade et source
- Statue Sainte Germaine de Pibrac = Quillan
- Statue Saint Jean Baptiste et Jésus = Coudons et Ginoles (les bains)
- Statue du Diable et son geste = La muraille du diable et le trou du curé
- Ronde bosse = Picoulet de Quirhaut

"Lorsque Jupiter envoie les richesses aux bons, il est boiteux."
Aristophane - Ploutos

Le "diable boiteux" ramène sa jambe devant lui comme pour se tourner afin de nous suggérer le vrai sens de "lecture" des représentations et de leurs équivalents géographiques. S'il avait un attribut dans la main, nous serions obligés de le contourner pour entrer dans l'église à défaut de pouvoir le pousser pour le faire pivoter.
On se rend compte alors que le pavement de l'église de Rennes-le-Château, que le diable regarde, donne la véritable orientation des représentations de l'église et donc de la carte suggérée : NE - SO.

"Je te donnerai les clefs du royaume des cieux : ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux, et ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux."
Matthieu : 16-19

Le blason du pape Léon XIII offre les clefs de la représentation. Une lumière dans le ciel ("lumen in coelo") à suivre, comme celle que l’empereur Constantin avait pu voir apparaître afin de Vaincre ("In hoc signo vinces"). Ce symbole lumineux était constitué des lettres grecques Chi (X) et Rhô (P) formant le symbole du Chrisme, et relatives au nom du Christ. On nous suggère également dans la chaire de suivre ce symbole désigné de la main (kheir, chiro).
Un arc est constitué de deux extrémités, le point le plus haut sous l'arc formé par le village d'Arques et le Picou d'Arques (à Gallinagues : "le lieu des poules") est le picoulet de Quirhaut. Le sommet de la ronde bosse surmontée d'un arc de l'église de Rennes-le-Château est représenté par le Christ, dont l'un des symboles principaux est le Chrisme (Chi+Rhô).

Le lieu vers lequel l'abbé Saunière voulait diriger notre attention est le Picoulet de Quirhaut à proximité duquel se trouvait le village de Quirhaut et son église Notre-Dame, totalement détruit entre le XII et le XVème siècle. La tour Magdala qu'il a fait construire et de laquelle surgit une poivrière, doit nous permettre de regarder au mieux vers le sud-ouest, car c'est là-bas que se trouve la vérité.

:hello:

:!: Attention :!: Il n'y a pas de livre à acheter :!:
JAUCLIN
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Re: Etudes et conclusions des chercheurs -vos théories

Message par JAUCLIN »

e vais ici expliquer un des éléments qui montre que ces parchemins furent crées par un prêtre.
Cela concerne une expression particulière du grand parchemin : « unguenti odore ».
Comme il a été remarqué, l’ordre des mots est inversé . A la manière du « Second-Premier » l’expression initiale retrouvé dans les textes bibliques « odore unguenti » est devenue « unguenti odore ». J’exclue toute erreur involontaire et je ne perdrais pas de temps avec ceux qui diront le contraire…
J’ai donc cherché dans quels documents se trouvait l’expression inversée « unguenti odore ».
j’en ai trouvé trois . L’un est relatif aux parfums ( Histoire naturelle de Pline ), le deuxième de Saint Jean Chrysostome ( S. Ioannis Chrysostomi opera graece et latinae, Volume 12 page 811 ) et le troisième est celui qui a le plus liens avec les parchemin, il s’agit de MONVMENTA ECCLESIAE
LITVRGICA de Cabrol et Leclercq , page 55 ( pdf 82/494) :
https://archive.org/details/MonvmentaEc ... 1/mode/2up

Le texte est relatif à l’ordination d’un prêtre ( notamment en Septimanie...) et l’expression se trouve dans la prière qui conclut son ordination :
... et sacerdotem tuum ornamentis totius clarificationis instructum celestis unguenti odore sanctifica. — Amen.

Le site anglais suivant ( http://www.presbytersproject.ihuw.pl/in ... rceID=1425
) est spécialisé dans ce genre de texte datant d’avant 700, et il propose la traduction suivante : « and sanctify your priest with the fragrant divine aroma of the ornament of enlightment. — Amen. » soit en Français « et sanctifie ton prêtre avec l'arôme divin parfumé de l'ornement de l'illumination. »

Alors quels sont les arguments qui me font penser que ce texte a inspiré l’inversion trouvée dans le grand parchemin ? Des plus futiles aux plus sérieux je citerais :
- Deux particularités que l’on trouve à la fin de la page précédente ( page 54 ) : un mot qui m’a fait penser au mot « Bezae » qui est le mot « Baeza » , une référence au « REQUIE IN PACE » .
- le livre concerne la liturgie wisigothique ( En page 12 de son introduction, Leclercq parle de liturgie mozarabe mais précise« je lui préfère cependant celle de wisigothique. » )
- le mot « illumination » que l’on retrouve sous la forme « profoutismaton » ( voir mes études sur le codex ) dans l’annotation du correcteur J situé à la marge de la page 150 relative à Jean XII .
- Le fait qu’il s'agisse de la prière qui conclut l’ordination d’un prêtre, sachant que le petit parchemin se termine par l’expression « aux seuls prêtres ».

Tout ceci démontre que le créateur des parchemins avait une connaissance approfondie des évangiles et de la liturgie et que tout cela n’a rien à voir avec une blague réalisée par Plantard …
Mais chacun pense ce qu’il veut.

Bonne journée.

à plus :wink:

PS : Après l'étude que j'avais réalisée sur le codex Bezae en 2021, nous savions déjà que le créateur du grand parchemin avait une connaissance du codex que Plantard ne pouvait pas avoir. J'avais alors conclu :
* En conclusion

Tous les chercheurs anglais « mettent en exergue » les fautes grammaticales et orthographiques des annotateurs, la plus importante étant d’écrire un mot qui n’a pas lieu d’être ( περι ). Sur les dizaines de περι écrits aucun des chercheurs n’a remarqué ( ou voulu mettre en avance …) la « faute sur la faute », c’est-à-dire les trois uniques fois où le mot περι fut orthographié περη. Ces erreurs sont le fait d’annotateurs vivants à la même époque ( M1/M2-L ) . Deux des trois fautes concernent la même péricope, celle où la barque des apôtres se dirige vers Génésareth ( Ad Genesareth, « vers » étant une des traductions de περι ). La troisième faute se trouve au niveau de Jean XII 1-12. Autrement dit, le grand parchemin évoque ces trois fautes identiques et uniques dans tout le codex. Le repère αρχη ( noté αρχ et qui se prononce ARC en grec, latin et français ) est propre au codex Bezae, il fut utilisé par les mêmes annotateurs ( M1/M2-L ). Enfin le codex fut annoté dans les marges au plus tôt vers 450 et au plus tard vers 850 .
Modifié en dernier par JAUCLIN le 12 déc. 2023, 16:59, modifié 2 fois.
JAUCLIN
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Re: Etudes et conclusions des chercheurs -vos théories

Message par JAUCLIN »

Mon étude sur les mots Περη / περ présents dans les annotations du codex Bezae a permis de mettre en évidence le lien qui existe entre le texte de Jean XII ( texte de base du grand parchemin ) et deux autres textes en relation avec « Genezareth » :

- Matthieu Chap 14 ligne 22 : pages 47b-48a du codex :
Aussitôt Jésus obligea les disciples à monter dans la barque ….

- Marc Chap 6 ligne 54 : bas de page 306b ). :
Ils sortirent de la barque, et aussitôt les gens reconnurent Jésus ...

Pour rappel, le mot est écrit 48 fois sous la forme περ ( pages 14-28-34-43-56-57-60-61-62-68-71-73-74-75-87-124-145-184-191-199-201-202-208-210-211-215-216-218-220-236-238-244-245-247-248-253-254-257-287-288-289-304-307-313-315-317-321-437 ) et trois fois sous la forme Περη  ( pages 47-150-306 ).

Il se trouve que le mot περὶ / ΠΕΡI se trouve dans le texte de Jean XII qui commence par « Six jours avant la Pâque » , il est dans le verset 6 ( 17eme ligne de la page 150b du codex ):
τοῦτο δὲ εἶπεν οὐχ ὅτι περὶ τῶν πτωχῶν ἔμελεν αὐτῷ ἀλλ’ ὅτι κλέπτης ἦν καὶ τὸ γλωσσόκομον ἔχων τὰ βαλλόμενα ἐβάσταζεν.

À propos de ce verset, on peut lire dans les commentaires du site:
http://www.codexd05.fr/evangile-jean/6

« 6. τοῦτο δὲ εἶπεν οὐχ ὅτι περὶ τῶν πτωχῶν ἔμελεν αὐτῷ ἀλλ’ ὅτι κλέπτης ἦν καὶ τὸ γλωσσόκομον ἔχων τὰ βαλλόμενα ἐβάσταζεν....tenant le coffre, ce qu'on y mettait il l'emportait. Le terme rare τὸ γλωσσόκομον traduit l'hébreu אֲר֣וֹן, ce coffre où les Hébreux déposaient la dîme exigée par Moïse [cf. 2 sam 6.11 A(02); 2chr 24.8-11, Antiquités Juives, 6.11]. Placé devant l'arche d'alliance, il revêtait un caractère sacré. Ainsi Jean comparait-il la mise en commun des biens par les disciples à celle des Hébreux dans le désert. S'approprier le bien commun en devenait sacrilège. »

En fait , mis à part le lien avec le mot Genezareth , les versets des évangiles qui se trouvent à côté de l’erreur Περη  font apparaître aussi le mot « Barque » .On remarque aussi la prédominance de la valeur 6 ( verset 6 , 6 jours avant Pâque ), d’ailleurs le créateur du petit parchemin avait découpé le texte de façon à faire apparaître la lettre T en 6eme position sur 6 lignes dans le texte de Luc 6.

Sans tirer de conclusion hâtive, le Xap ( prononciation ARC ) présent dans la prolongation du Pss, l’histoire du coffre (γλωσσόκομον ) que l’on retrouve aussi dans le petit parchemin sous la forme du mot grec θήκη retourné . La mise en évidence du mot « barque » montre que l’auteur des parchemins voulait mettre en évidence ce lien relatif au mot « arche » ( coffre , bateau ), lien que l’on retrouvait déjà à l’époque où le codex fut annoté par les mains L, J et M .
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grominet
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Re: Etudes et conclusions des chercheurs -vos théories

Message par grominet »

En complément de l’excellent développement :
https://books.google.fr/books?id=xS2hDw ... &q&f=false
Annotations en marge et sortes sanctorum permettraient également de lier les textes ?
JAUCLIN
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Re: Etudes et conclusions des chercheurs -vos théories

Message par JAUCLIN »

Bonjour,

Loin de moi l’idée de provoquer une polémique, mais je dois réagir à une étude très bien faite sur le rapport entre le texte de la stèle et les erreurs que l’on peut rencontrer sur d’autres stèles au cours des siècles ( https://www.rennes-le-chateau-doc.fr/le ... QTQyQgvuJA ).
Je pense que l’auteur se trompe de conclusion ou alors, il est passé à côté de son sujet.

La conclusion de son étude devrait être «  il existe d’autres stèles qui présentent certaines erreurs identiques à celle de RLC ( et peut-être préciser qu’aucune ne présente autant « d’erreurs » si différentes »…).
Maintenant si le sujet était : la stèle de RLC est-elle « codée », alors il est passé à côté de son sujet, car dans ce cas il faut montrer que les fautes n’aboutissent à rien de remarquable.

Bon , je n’aime pas trop le mot « codé », je préfère a minima parler «  d’avoir une intention réfléchie ».
Par exemple dans les stèles que propose l’auteur de cette étude on retrouve l’une ayant dans son texte le mot CATIN, le but était de rappeler que la dame dont il était question avait des mœurs légères . C'est donc une intention réfléchie.
Donc si l’on veut démontrer « qu’il n’y a pas codage », alors il faut au moins montrer que le résultat de ces multiples erreurs ne conduit pas à un résultat remarquable.

À lire l’étude, on a l’impression qu’il est courant de rencontrer ce type d’erreur dans les cimetières. En tout cas dans le nord de la France, je n’ai jamais eu cette impression et pourtant depuis quelques années je fais attention quand je parcours les allées des vieux cimetières.
En fait, chaque type d’erreur n’est pas aussi fréquente, et le fait de montrer une paire d’exemple n’augmente pas la fréquence du phénomène !
De plus, dans le cas de la stèle de RLC le nombre d’erreurs différentes se cumule, ce qui rend le résultat improbable. Sans vouloir vous ennuyer avec quelques notions de base de probabilité, mais si l’on rencontre un type d’erreur à une fréquence de 1/100 et un autre type d’erreur à la fréquence de 1/200, alors la chance de trouver les deux erreurs réunies sur une même stèle est de 1/20 000. Dans notre cas on bat des records...

Maintenant je voudrais revenir sur l’erreur « césure d’un mot » que l’on trouve dans l’exemple évoqué : CI GIT LE CORPS de M-ESTRE PIERR-E. On remarque que le graveur avait pour soucis de ne pas sortir de son cadre d’inscription, ce qui n’a rien à voir avec le M de MARIE de la stèle de RLC. Ce dernier sort complètement la lettre du cadre de lecture/écriture et le graveur n’a pas cherché à la coller avec le reste du mot à la ligne suivante ( il avait largement la place pour écrire M-ARIE ). En fait, l’exemple donné n’a rien à voir ou si peu : juste la présence d’une césure.

Autre remarque :Dans le cas de la stèle GUICHOU, l’écriture en exposant s’explique par le manque de place, dans le cas de RLC, elle ne s’explique pas.
Il y aurait encore beaucoup à dire mais ...

Il est temps de montrer que l’auteur du texte de la stèle de RLC avait a minima « une intention réfléchie ». C’est justement avec cette lettre M, car en faisant cette erreur, l’auteur va faire apparaître deux faits remarquables :
Le premier est l’alignement des quatre lettres « E » à la fin des quatre premières lignes. Il faut cependant souligner qu’en termes de probabilité, il serait possible de trouver ce cas de figure car la lettre E est très fréquente ( mais jusqu’alors trouvé par personne …). Je pense qu’ici il s’agit au moins de la « clé de lecture » car pour moi l’auteur explique ainsi qu’il est question d’alignement de lettres mais vous pouvez ne pas être d’accord sur cette intention. Cependant le fait est indiscutable : alignement de quatre lettres « E » en bout de ligne.
Par contre, le deuxième alignement est remarquable car avec les trois uniques lettres M du texte il permet d’obtenir un deuxième alignement : celui des lettres M . Ici en termes de probabilité, c'est complètement improbable( fréquence des lettres M moins importante, mais SURTOUT il n’y a que trois lettres M et c’est la césure qui permet l’alignement ).

En conclusion : avec un déplacement EN DEHORS DU CADRE DE LECTURE de la lettre M, on obtient deux alignements de lettres.Il y a donc bien une intention qui n’a rien à voir avec le hasard .
Ensuite « codage » ou « pas  codage », à chacun d’essayer de donner une explication à ce fait. Enfin pour ne pas surcharger, je n'ai pas parlé de l'alignement des lettres "T" trouvé par plusieurs chercheurs ( dont PS :wink: ).
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crétin premier
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Re: Etudes et conclusions des chercheurs -vos théories

Message par crétin premier »

Concernant les alignements je suis entièrement d'accord, d'autant qu'ils forment un 4 (on en avait déjà parlé avec Charly)...
Pour le reste, je ne m'y intéresse que pour le "requies catin pace" qu'on retrouve en titre du livret du docteur Albarel...
Avant je doutais et je me posais des questions.
Maintenant que je sais je m'en pose encore plus...
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