Rennes-le-Chateau: rendez-vous des chercheurs de trésor

Oui Toulouse avec une bergère qui n’a pas de tentation, normal son tombeau est dédié à Isis d’or, à la Daurade en plus.
https://www.ladepeche.fr/article/2007/0 ... mence.html

Mais on aurait récupéré des éléments de la tombe d’une Ysalguier, famille ayant géré certains trésors connus à Arques et Limoux.
1323 ? Une académie qui existe encore et peut-être richement dotée à l’origine. Certains membres ont été présents à RLB. Aronnax l’a développé et a noté la présence de « mainteneurs « ...Quel flambeau passaient-ils ?
Ce début du XIVe siècle est fabuleux.

grominet a écrit :Oui Toulouse avec une bergère qui n’a pas de tentation, normal son tombeau est dédié à Isis d’or, à la Daurade en plus.
https://www.ladepeche.fr/article/2007/0 ... mence.html

Mais on aurait récupéré des éléments de la tombe d’une Ysalguier, famille ayant géré certains trésors connus à Arques et Limoux.
1323 ? Une académie qui existe encore et peut-être richement dotée à l’origine. Certains membres ont été présents à RLB. Aronnax l’a développé et a noté la présence de « mainteneurs « ...Quel flambeau passaient-ils ?
Ce début du XIVe siècle est fabuleux.

Ce que je lis dans l'article est nul, une fois de plus !
Surtout lorsqu'on cherche l'étymologie du nom : Isaure c'est Isis Auréa. L'Isis d'or. Et donc… de la Daurade.

.

P.Silvain a écrit : Ce que je lis dans l'article est nul, une fois de plus !
Surtout lorsqu'on cherche l'étymologie du nom : Isaure c'est Isis Auréa. L'Isis d'or. Et donc… de la Daurade.

Ceci donnait pourtant à réfléchir.
L’or, Raymond Ysalguier le maniait très largement notamment celui des templiers et des bonshommes surtout ceux d’Arques.
Un trésor connu par l’Inquisition locale comme celui de Montségur prévu pour partir en Lombardie.
Là c’est encore le tombeau qui compte et mène à de curieux bergers.

grominet a écrit :

P.Silvain a écrit : Ce que je lis dans l'article est nul, une fois de plus !
Surtout lorsqu'on cherche l'étymologie du nom : Isaure c'est Isis Auréa. L'Isis d'or. Et donc… de la Daurade.

Ceci donnait pourtant à réfléchir.
L’or, Raymond Ysalguier le maniait très largement notamment celui des templiers et des bonshommes surtout ceux d’Arques.
Un trésor connu par l’Inquisition locale comme celui de Montségur prévu pour partir en Lombardie.
Là c’est encore le tombeau qui compte et mène à de curieux bergers.

Cà je le sais et même PLUS
Je parle de la traduction de Clémence Isaure ( j'ai pas été assez clair ?) et de l'explication du pourquoi...
A+

L'Isis d'or de l'eldorado.
Clémence Isaure aurait son tombeau ici. A associer au culte immémorial de la célèbre Vierge noire de la Daurade, Dame de sous-terre.
Et dont le sceau aurait ressemblé à celui de la vierge...à la pomme
https://www.ladepeche.fr/article/2015/1 ... -vies.html

On peut complèter avec ce site intéressant, où on nous parle entre autre d'une bergère qui jette une pomme à un berger(p13), coutume en Grèce ancienne
https://www.persee.fr/doc/ephe_0000-000 ... m_1_1_2330

La Daurade...reprise un moment par les Bénédictins de...St Maur, ceux qui faisaient équipe avec l’enfant du pays, fin connaisseur de la bibliothèque de Mgr Pavillon...

Une autre lecture des Bergers d'Arcadie
« Que philosopher, c'est apprendre à mourir » : une autre lecture des Bergers d'Arcadie de Nicolas Poussin
Jean-Louis Hourquet
https://www.cairn.info/revue-dix-septie ... ge-301.htm#

https://www.youtube.com/watch?v=2T7iYqm ... chelVallet

Cela ventille un peu , non ?
Cela rejoindra "le livre des transformations" de Confucius , livre qui a influencé Montaigne, Montesquieu , Voltaire et bien d'autres .

Lecture pour lecture , j'ai noté ceci :
"...en vivant à Rome, Poussin voit continuellement sous ses yeux de nombreuses églises construites sur les ruines d’anciens temples. Ce qu’il voit, avec des yeux toujours perçants, c’est une ville éternelle ayant réussi à intégrer physiquement tous les cultes..."
https://www.nicolas-poussin.com/actuali ... mpiegne-2/

Applicable à plusieurs lieux dont RLB ?

Codex Barberinus 4304 :
https://digi.vatlib.it/view/MSS_Barb.lat.4304

A l'heure de la Rome souterraine de Bosio, en effet, Poussin ne pouvait pas passer à côté, surtout qu'on le mande pour aller gribouiller ce qui s'y trouve (et pas que lui d'ailleurs). Bien plus que l'artiste, le Vatican connaît les lieux d'implantations des églises, et le frère du pape s'occupe d'en tirer la substantifique moelle.

Ca paye en Italie, pourquoi pas ailleurs ?
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b7200180r

Virgile a écrit :A l'heure de la Rome souterraine de Bosio, en effet, Poussin ne pouvait pas passer à côté, surtout qu'on le mande pour aller gribouiller ce qui s'y trouve (et pas que lui d'ailleurs). Bien plus que l'artiste, le Vatican connaît les lieux d'implantations des églises, et le frère du pape s'occupe d'en tirer la substantifique moelle.

Ca paye en Italie, pourquoi pas ailleurs ?
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b7200180r

Merci Virgile ....
Bosio était en "affaire" avec les collectionneurs dont le cardinal Barberini ...
Son livre est un véritable "guide touristique" pour connaisseurs ...
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8844591/f9.image

pour la petite histoire (j'ai hésité et puis zut )
L'oncle d'Antonio Bozio , Giacomo Bozio était servant de l'Ordre de St Jean de Jérusalem et historien de son ordre ...

Virgile a écrit :A l'heure de la Rome souterraine de Bosio, en effet, Poussin ne pouvait pas passer à côté, surtout qu'on le mande pour aller gribouiller ce qui s'y trouve (et pas que lui d'ailleurs). Bien plus que l'artiste, le Vatican connaît les lieux d'implantations des églises, et le frère du pape s'occupe d'en tirer la substantifique moelle.

Oui, mais n'oublions pas le "collectionneur" Cassiano dal Pozzo.
Le lien a été fait avec Bernard de Montfaucon (on y retrouve la mosaïque et Bosio)
"...comment la tradition des musées de papier s’est, depuis ce berceau italien, répandue en Europe. Au tournant du xviie et du xviiie siècle, cette tradition trouve notamment un prolongement important dans les travaux historiques de la congrégation bénédictine de Saint-Maur, où elle est assimilée et transformée..."
https://journals.openedition.org/anabas ... t#tocto1n1

Poussin aurait fait une esquisse du futur tombeau de cet "antiquaire", je la cherche.

L'échange, ici est d'un bon niveau culturel. pas de problème.
mais prenons ce croquis:
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b7200180r/f1.item
Il est évident que si on regarde bien en haut à gauche, on voit que les arabesques du serpent associées au rochers dessinent une tête avec un chapeau. Pourquoi cette tête étrange à cet endroit? En me posant cette question, je rentre dans l'hermétisme de cette oeuvre. Cette tête est probablement un accès vers le secret de ce croquis. Et c'est tout ce qu'il manque très souvent aux historiens de l'art, qui éludent ce niveau de lecture, qui est pourtant le vrai message de l'artiste et qui peut nous mener beaucoup plus loin...

La tête est évidente et vous voulez nous faire croire qu'elle est là pour faire joli! Mon Dieu, le niveau
Le commanditaire commande mais l'artiste peut faire passer bien d'autres choses.

Je vais essayer d'être positif. Une tête se cache clairement dans cette partie de la mosaique. Le serpent dessine les yeux et la bouche. Les rochers le reste. Il y a désir de l'artiste de nous faire apparaitre cette tête en filigrane. C'est un cas flagrant de stéganographie.
Voir en haut à gauche:
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b7200180r/f1.item
Alors je pose la question:
1) La tête est là pour faire joli? c'est un amusement?
2) Elle est là pour une autre raison?

Aronnax a écrit :Grominet et Virgile, j'espère que vous avez archivé cette information "d'un bon niveau culturel" et constituant un incontestable enseignement "hermétique"

Bonjour à tous,

Le détail ne devrait pas cacher un phallus de 54 mètres de long, du moins figurant vraisemblablement avant la censure.
Par chance, face à cette mosaïque plusieurs fois restaurée, nous avons les dessins commandés par Cassiano dal Pozzo.
...et un article excellent :
https://www.persee.fr/doc/topoi_1161-94 ... m_9_1_1819

Je note au passage que ceci figurait dans une grotte sanctuaire proche d'une nécropole (avec traces des civilisations étrusque, phénicienne et carthaginoise...commerçants avisés qui, peut-être, avaient un œil sur les minerais et le sel de RLB).

Cassiano dal Pozzo , finalement, aime les symboles d’Éternité ?